C'est un extrait d'un de mes livres. Dites moi ce que vous en pensez pour que je sache si je la continu ou non. C'est le début.
Sur la grande place, un petit garçon vêtu de haillons déchirés serra les points de colère. Ses cheveux noirs qui lui descendais jusqu’au cou volait avec le vent. Ses yeux verts brillait d’une telle colère qu’il en était sûrement prêt a frapper, ou voire, a tuer quelqu’un pour ce défouler. Devant lui, sur les marches du palais du roi, un de ses semblables se fait sauvagement attaqué par une bande de gamins en cape brodée or. Sa mère le lui avait souvent répétés : ne t’attirent pas les foudres des riches, car ils ont tous les pouvoirs et pourrait te faire arrêter. Mais cette fois, c’était diffèrent. Il ne pouvait resté la sans rien faire. Le gamin s’avança. Il prit une pierre dans sa main, fit des petits bond vers l’avant pour prendre de l’élan et lança la pierre de toutes ses forces. La pierre décrivit un joli arc dans les airs pour retomber en plein sur celui qui a l’air le plus riche. Il se retourna, furibond, et regarda le mendiant d’un œil frustré. L’autre lui rendit son regard. Soudain, il prit conscience des événements. Il parti a courir dans les ruelles riches de Sacientha et alla lentement vers la parti pauvre. Il entendis des bruits de pas derrière lui. Il était poursuivi! Il pouvait entendre les voix des gamins.
-Allez les gars.
Le gamin vêtu de haillon pris a droite, puis a gauche, passa deux rues et tourna a droite.
-On va l’avoir!
Droite, Gauche, Tout droit, encore tout droit. Heu. Droite ou gauche?
-Par ici!
Droite! Gauche, tout droit. Passe trois ruelle. Gauche.
-Il est coincé!
Horreur! Il s’était trompé de chemin. Vite. Il était peut-être encore temps de rebroussé chemin. Trop tard. Il pouvait voir ses poursuivant qui arrivaient. Le gamin se retourna trop vite et sa cheville le lâcha violemment. À peine plus tard, la troupe de gamins était sur lui. Celui qui avait la cape d’or et d’argent s’avança. Un léger filet de sang coulait de son crâne. Il lui arracha son médaillon qui lui avait été donné par sa grand-mère. Puis, ils partirent tout simplement, en riant comme si l’un d’eux venait de faire une bonne blague.
Un peu plus tard, le gamin rentra chez lui. Sa mère l’appela :
-Hyondrius, il faut que je te parle.
Hyondrius ne répondit pas.
-Hyondrius?
Le gamin arriva dans la cuisine en traînant les pieds. Sa mère prit une profonde inspiration.
-Hyondrius, il faut que tu parte d’ici. Les soldats vont venir a tout moment pour m’emprisonner. Ils me soupçonne d’avoir assassiner le petit Syo.
Elle avait dit cela d’un seul trait et était rendu rouge. La scène aurait pu avoir un côté comique si Hyondrius n’était pas parti en sanglot. Bouleversé, sa mère le prit dans ces bras.